L’objectif de cet article est de vous montrer comment fabriquer un conteneur simple - un serveur HTTP pour des fichiers statiques, puis de le déployer sur le cluster rancher mis en place lors des précédents.

J’adore les jolis clickodromes, mais en matière d’infrastructure, avoir des outils qu’on peut appeler depuis d’autres outils est absolument indispensable. Par exemple:

• dans ce qu’on appelle une forge logicielle, on pourrait vouloir faire en sorte qu’un commit dans la branche develop de nos source provoque le déploiement de la nouvelle version du conteneur sur la plate-forme de test
• dans une infrastructure gérée par un outil comme chef ou terraform, les agents vont avoir besoin de déployer automatiquement un agent, et d’indiquer au serveur la présence de cette nouvelle machine.

On a donc besoin d’outils en ligne de commande, utilisables dans des scripts pour faire ça.

Ca tombe bien, les développeurs de Rancher on prévu le coup. Tous les services sont exposés par une API et l’interface Web est, assez logiquement, une applcation construite autour de cette API, et des programmes sont disponibles pour gérer tout ça depuis la ligne de commande…

2ème épisode des billets sur rancher (le premier billet est là)

J’ai discuté auparavant de l’installation d’un serveur rancher et d’un agent sur une seule machine, pour faire des tests ou héberger sa propre infrastructure docker sur une petite machine.

Dans ce billet, je vais discuter de la sécurisation du serveur rancher

Rancher est un clickodrome assez sympa pour gérer un cluster de machines qui font fonctionner un démon docker et administrer les conteneurs qu’on aura déployés dessus. Le logiciel est assez abouti, et j’ai déjà quelques clients qui s’en servent en production et sont très contents.

Ayant subi une panne sur l’ancienne machine qui hébergeait mon blog et les autres services dont j’avais besoin, je me suis dit que j’allais essayer de tout passer dans des conteneurs juste pour le fun… je commence donc une petite série de billets sur ce que j’ai fait et comment tout ça fonctionne… et en premier lieu, puisque je n’ai pas les moyens ni l’envie de gérer un cluster avec plein de machines juste pour ça, “comment installer rancher sur une seule machine”.

Sauvegarde 101

Ces procédures devraient être enseignées à l’école et intégrées dans les modes d’emploi de tous les ordinateurs. Je trouve que les OS payants et les FAI, plutôt que des contrôles parentaux à la noix, devraient intégrer des logiciels qui permettent de faire ça facilement.

Les sauvegardes, c’est comme les assurances, on pleure quand on a tout perdu et qu’on n’avait pas souscrit. Vous préférez être de quel coté si ça vous arrive ?

Alors, comment faire des sauvegardes FIABLES et RECUPERABLES (valable pour les macs - et les windows, avec d’autres logiciels) ?

Sans déconner…

ma grande fille a eu à Noël l’objet de ses rêves les plus fous. Un iPod touch. Le seul appareil sous iOS de toute la famille. C’est là que le bât blesse…

Déjà le soir même de Noël, j’ai été assez surpris (doux euphémisme… j’ai râlé comme un goret) qu’on ne puisse pas ajouter un compte à cette saleté sans que ça soit:

1. un compte en mode “adulte”, c’est à dire, un compte avec un numéro de carte bleue
2. un compte enfant (-13 ans) faisant partie d’une famille.

http://leblogalupus.com/2015/01/09/je-ne-suis-pas-charlie-par-bruno-bertez/

Il faut oser, me semble-t-il, trouver scandaleux ce reversement de l’opinion et des pouvoirs et dire que c’est quand on est en vie que l’on a besoin de soutien, et non pas quand on est mort.

L’appel à l’Union Nationale est une escroquerie de communiquant politique : il s’agit de saisir l’opportunité de faire oublier une politique désastreuse, aussi bien de droite que de gauche, une politique qui divise.

Ça m’énuère !

Ça m’énuère, c’est ce que disait ma petite fille quand elle avait 2 ans ½, et que son doudou ne voulait pas tenir sur son vélo.

Et bien, ça m’énuère qu’elle m’ait dit hier qu’il ne fallait pas que j’aille à Paris pendant 2 semaines à cause de ces deux crétins qui l’ont faite flipper. Je ne sais pas pourquoi 2 semaines, ça devait lui paraître un compromis acceptable… Mais ils ont gagné. Même les petits mômes ont peur de ces connards, maintenant !

What i like the most about groovy ?

• tightly connected to the JVM, so you can use any existing java class in your project
• dynamic, meta-programming

Why ? let me show you a few examples of why Groovy doesn’t suck…

I have spent the last 5 years working as a devops engineer/operations manager, and i have been very fustrated at times by a lot of java applications which didn’t provide an easy way for operators to plug them inside their monitoring infrastructure.

I mean, have you already tried to monitor the number of requests / sec an application running in a JBoss/Jetty/Tomcat container will handle ? On one side, you have simple tools that can easily parse JSon documents (for instance) or send HTTP requests, and on the other side, you enter the realm of JMX, which is as “simple” as the “Simple” Network Management Protocol is…